Objectifs énergétiques et climatiques

Nos leviers de réduction de notre empreinte carbone

• Immobilier détenu par l’entreprise: remplacement des chauffages à combustible fossile, assainissement des enveloppes des bâtiments, optimisation énergétique de l’exploitation des bâtiments
• Mobilité: véhicules d’entreprise équipés exclusivement de modes de propulsion alternatifs
• Centres de calcul: exploitation avec des concepts et des technologies efficaces sur le plan énergétique.
• Émissions financées: lancement d’instruments pour réduire les émissions dues à notre activité de placement
• Nous renforçons notre engagement pour un meilleur climat: en accord avec les objectifs énergétiques et climatiques du groupe Poste, nous réduisons aussi bien nos émissions directes qu’indirectes, lesquelles, pour notre banque, concernent principalement les émissions financées.
• À partir de 2030, PostFinance mise sur un fonctionnement interne carbone-neutre. Cela signifie que nous devons réduire les émissions que nous produisons nous-mêmes dans notre entreprise et éliminer les émissions résiduelles inévitables de l’atmosphère grâce à des approches appropriées.
• Le groupe souhaite atteindre l’objectif Zéro émission nette dans les scopes 1 à 3 d’ici 2040. En d’autres termes, toutes les émissions de CO₂, y compris celles de la chaîne de création de valeur, devront être réduites d’au moins 90%, les émissions résiduelles étant neutralisées.

Qu’est-ce qu’une émission financée?

Pour les banques, les émissions financées sont le plus gros levier pour réduire leurs émissions. Mais de quoi s’agit-il exactement? Les banques sont actives sur le marché financier avec les fonds de leurs clients. PostFinance y investit principalement dans des obligations d’entreprises et donc dans des entreprises responsables d’une certaine quantité de gaz à effet de serre. Comme PostFinance investit dans ces sociétés, une certaine part de ces émissions lui est «attribuée» en tant qu’établissement financier. Ces émissions indirectes sont plusieurs fois supérieures à nos propres émissions, dues par exemple à notre exploitation immobilière ou à nos véhicules de fonction, même si elles sont beaucoup moins «visibles» à première vue.